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Coprésidente: Son Excellence Mme Tarja Halonen,
Présidente de la République de Finlande. |
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Mme Tarja Halonen a été élue Présidente de la Finlande en
février 2000 et a pris ses fonctions le 1er mars. Onzième
titulaire de cette charge, elle est la première femme à l’exercer.
Mme Halonen est née à Helsinki en 1943 et a obtenu en 1968
une maîtrise de droit à l’université de cette ville. Juriste,
à partir de 1970, de l’Organisation centrale des syndicats
finlandais, elle l’est restée alors qu’elle avait entamé sa
carrière politique (députée puis ministre). Mme Halonen a
adhéré au Parti social-démocrate en 1971. Elle est entrée
en politique en 1974 lorsqu’elle a été nommée secrétaire parlementaire
du Premier ministre, poste qu’elle a occupé jusqu’en 1975.
Elle a été élue au Parlement en 1979 et a été réélue cinq
fois de suite avant d’accéder à la présidence de la Finlande.
Mme Halonen a été ministre dans trois gouvernements: Affaires
sociales et Santé (1987-1990), Justice (1990-91) et Affaires
étrangères (1995-2000); elle a aussi été ministre de la Coopération
nordique (1989-1991). Elle a joué un rôle actif au Conseil
de l’Europe, tout d’abord en qualité de Vice-présidente de
la délégation finlandaise à l’Assemblée parlementaire (1991-1995),
puis au sein du Comité ministériel. Elle a été également membre
du Comité des Sages du Conseil de l’Europe en 1998-99. Mme
Halonen porte une attention particulière aux questions concernant
les droits de l’homme, la démocratie et la société civile.
La justice sociale et la promotion de l’égalité sont au cœur
de sa carrière politique.
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Coprésident: Son Excellence M. Benjamin Mkapa,
Président de la République-Unie de Tanzanie. |
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M. Benjamin W. Mkapa, élu en novembre 1995, est le troisième
Président de la République-Unie de Tanzanie depuis l’accession
de son pays à l’indépendance en 1961. M. Mkapa est né en 1938
à Masasi (région de Mtwara). Après son instruction primaire
en Tanzanie, il a poursuivi ses études au Makere University
College en Ouganda, où il a obtenu en 1959 un diplôme ès lettres
de premier cycle et, en 1962, une licence ès lettres anglaises.
La même année, M. Mkapa a été nommé fonctionnaire de district
de l’administration locale de Dodom, puis fonctionnaire du
service diplomatique. En 1966, il a entamé une longue carrière
de journaliste. Pendant les années soixante et soixante-dix,
il a été directeur de la rédaction de deux grands journaux
tanzaniens, The Nationalist Uhru et The Daily News. Cette
expérience professionnelle lui a valu d’être nommé en 1974
attaché de presse du Président de la République-Unie de Tanzanie,
qui était alors M. Mwalimu Julius Nyerere. M. Mkapa a occupé
ce poste deux ans. En 1976, il est devenu l’un des directeurs
fondateurs de l’agence de presse de Tanzanie SHITATA. Au cours
de sa carrière de diplomate, M. Mkapa a occupé des fonctions
élevées, notamment celles de Haut-commissaire auprès du Nigéria
(1976) et de ministre des Affaires étrangères (de 1977 à 1980).
En 1982, il était Haut-commissaire auprès du Canada et, en
1983, ambassadeur auprès des Etats-Unis d’Amérique. Il est
rentré au pays en 1984, où il a de nouveau été nommé ministre
des Affaires étrangères. Au début des années quatre-vingt-dix
il a été ministre de l’Information et de la Radiotélévision.
En 1992, il a été nommé ministre de la Science, de la Technologie
et de l’Enseignement supérieur, puis a été élu Président en
1995. Il a été réélu Président en 2000 pour un mandat de cinq
ans. Pendant toute sa carrière politique, M. Mkapa s’est efforcé
de renforcer la démocratie tanzanienne, d’ancrer en profondeur
les droits civils et de lutter contre la pauvreté, tout en
ouvrant de plus en plus son pays au commerce et aux investissements
internationaux.
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Giuliano
Amato (Italie) |
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Vice-président de la Convention
sur l’avenir de l’Europe. M. Amato a été deux fois Premier ministre
de son pays, (1992-1993 et 2000-2001). Député de 1983 à 1993,
il a été président du Conseil, ministre du Trésor, ministre
des Réformes institutionnelles et président de l’Autorité antitrust
italienne. M. Amato est avocat. De 1975 à 1997, il a été professeur
de droit constitutionnel comparé à l’Ecole de sciences politiques
de l’Université de Rome. |
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Ruth Cardoso
(Brésil) |
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épouse du Président de la République
et présidente du Conseil de Comunidade solidária, organisation
qui, depuis 1995, prône les partenariats intersectoriels dans
la lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale. Mme Cardoso,
qui a été chercheur supérieur au Centre brésilien d’analyse
et de planification et professeur d’anthropologie à l’Université
de Saõ Paulo, est aujourd’hui membre du conseil d’administration
de la Fondation pour les Nations Unies. Elle a écrit de nombreux
livres et articles sur les jeunes, les mouvements sociaux, la
société civile et les nouveaux acteurs sociaux. |
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Heba
Handoussa (Egypte) |
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Directrice générale du Forum de
recherche économique pour les pays arabes, l’Iran et la Turquie,
Mme Handoussa est aussi membre du Choura, qui est l’Assemblée
consultative de l’Egypte. Economiste, elle a enseigné à l’Université
américaine du Caire dont elle a ensuite été nommée vice-doyenne.
Elle a été conseillère auprès du gouvernement égyptien et consultante
à la Banque mondiale. Elle a écrit de nombreux travaux de recherche
sur l’ajustement structurel, la politique industrielle et l’aide
étrangère, les réformes institutionnelles et les modèles de
développement comparé. |
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Eveline Herfkens (Pays-Bas) |
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ministre de la Coopération pour
le développement depuis 1998. De 1996 à 1998, Mme Herfkens a
été ambassadrice auprès de l’Organisation des Nations Unies
et de l’OMC. Pendant cette période, elle a été membre du Conseil
de l’Institut de recherche des Nations Unies pour le développement
social et présidente du Bureau de la Commission économique des
Nations Unies pour l’Europe. De 1990 à 1996, elle a été administratrice
du Groupe de la Banque mondiale. Auparavant, elle avait été
pendant neuf ans députée du Parti travailliste au Parlement
des Pays-Bas. Avocate, Mme Herfkens a participé activement à
plusieurs organisations non gouvernementales. |
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Ann
McLaughlin Korologos (Etats-Unis d'Amérique) |
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Vice-présidente de la Rand Corporation.
Mme Korologos, qui a été secrétaire d’Etat au Travail de 1987
à 1989, a aussi été sous-secrétaire d’Etat du ministère de l’Intérieur
et secrétaire adjointe du ministère des Finances. De 1996 à
août 2000, elle a présidé l’Institut Aspen. Elle est actuellement
conseillère de la banque d’investissement Benedetto Gartland
& Co., qui est établie à New York. Elle est aussi membre des
Conseils d’administration d’AMR Corporation et de sa filiale
American Airlines, et de Fannie Mae, Harman International Industries,
Kellog Company, Microsoft Corporation, Vulcan Materials et Host
Marriott Corporation.
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Lu Mai (Chine) |
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Secrétaire général de la Fondation
chinoise de la recherche pour le développement depuis 1998,
M. Lu est également chargé de recherche principal au Centre
de recherche pour le développement du Conseil d’Etat depuis
1995. Il a une vaste expérience de la réforme rurale en Chine
et a dirigé le bureau expérimental de la Réforme rurale, qui
relève du Centre de recherche pour le développement rural du
Conseil d’Etat à la fin des années quatre-vingt. Il est l’auteur
de nombreuses publications sur la réforme économique et a été
consultant à la Banque mondiale, à la Banque asiatique de développement
et dans d’autres organisations internationales. |
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Deepak Nayyar (Inde) |
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Vice-président de l’Université
de Delhi, M. Nayyar est un économiste renommé, qui a enseigné
dans diverses universités en Inde, en France et au Royaume-Uni.
Il a été conseiller économique en chef du gouvernement indien
et secrétaire permanent au ministère des Finances. Auteur de
nombreux ouvrages et articles, M. Nayyar est le président du
Conseil des gouverneurs de l’Institut mondial pour la recherche
sur l’économie du développement, et membre du conseil consultatif
du Centre international de développement à l’Université d’Oxford. |
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Taizo Nishimuro
(Japon) |
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Président du Conseil d’administration
de Toshiba Corporation. Dans cette entreprise, M. Nishimuro
a fait carrière et s’est occupé de la vente et de la commercialisation
à l’échelle internationale de composants électroniques et d’appareils
électroniques de grande consommation. M. Nishimuro est actuellement
le vice-président de Keidanren (organisation patronale japonaise)
et membre du Conseil de Nikkeiren (organisation d’employeurs
japonais). Il a été officieusement désigné Vice-président de
la Fédération des entreprises japonaises, laquelle sera instituée
en mai 2002 après la fusion de Nikkeiren et Keidanren. |
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Valentina Matvienko
(Fédération de Russie) |
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vice-Premier ministre de la Fédération
de Russie, elle est chargée des affaires sociales, de l’éducation
et de la culture. Mme Matvienko est aussi responsable des relations
entre le gouvernement et les syndicats, les organisations et
associations sociales, les organisations religieuses et les
médias. Nommée à ses fonctions actuelles en 1999, Mme Matvienko
a d’abord été en 1998 vice-Premier ministre pour les affaires
sociales. Auparavant, elle a été diplomate et longtemps haut
fonctionnaire. De 1991 à 1995, elle a été ambassadrice à Malte
et, de 1997 à 1998, ambassadrice en Grèce. |
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François Perigot (France) |
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Président de l’Organisation internationale
des employeurs, M. Perigot a fait une longue carrière dans l’industrie
en France. De 1968 à 1970, il a été président-directeur général
de Thibaud Gibbs et Cie, puis d’Unilever France (1971-1986).
De 1986 à 1994, M. Perigot a présidé le Conseil national du
patronat français. Depuis 1997, il est le président du Mouvement
des entreprises de France (MEDEF) International, principale
organisation patronale française. |
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Surin Pitsuwan (Thaïlande) |
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député et ancien ministre des Affaires
étrangères. M. Surin a fait une longue carrière dans la fonction
publique et aux affaires étrangères. Il a été ministre des Affaires
étrangères de 1997 à 2001 et vice-ministre des Affaires étrangères
de 1992 à 1995. Député, il a été élu six fois de suite depuis
1986. Diplômé de sciences politiques, M. Surin est actuellement
membre de la Commission de la sécurité des personnes et signe
régulièrement des chroniques dans d’importants journaux thaïlandais
et de la région. |
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Julio Maria
Sanguinetti (Uruguay) |
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président du Círculo de Montevideo,
assemblée qui vise à trouver de nouveaux moyens pour garantir
la gouvernabilité et le développement durable en Amérique latine.
M. Sanguinetti a été élu deux fois Président de la République
(1985-1990 et 1990-1995). Il a fait une longue et éminente carrière
dans la politique, la culture et le journalisme. En 2000, il
a reçu le Prix «Simón Bolívar» de l’UNESCO. Il est docteur «honoris
causa» de plusieurs universités. |
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Hernando de Soto (Pérou) |
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Président de l’Institut pour la
liberté et la démocratie. Il a écrit plusieurs ouvrages de politique
économique qui ont été des succès de librairie, et il dirige
une importante cellule de réflexion sur les questions de développement.
Considéré comme l’un des experts les plus influents en matière
de secteur informel, il a été conseiller du gouvernement péruvien,
notamment pour l’élaboration et l’application de stratégies
visant à intégrer dans l’économie formelle les entreprises et
le régime de propriété du secteur informel. Dans son dernier
ouvrage (The Mystery of Capital: Why Capitalism Succeeds in
the West and Fails Everywhere Else), il se demande pourquoi
le capitalisme réussit à l’Ouest et échoue partout ailleurs. |
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Joseph Stiglitz (Etats-Unies d'Amérique)
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professeur (économie, commerce
et affaires internationales) à l’Université de Colombia. Universitaire
renommé, M. Stiglitz est l’un des fondateurs de l’économie moderne
du développement. Il a enseigné à Yale, Princeton, Oxford et
Stanford, et a été économiste en chef à la Banque mondiale.
Il a également présidé le Conseil économique des Etats-Unis
(Council of Economic Advisors) de 1993 à 1997. Il a reçu le
prix Nobel d’Economie en 2001. |
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John J.
Sweeney (Etats-Unis d'Amérique) |
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président depuis 1995 de la Fédération
américaine du travail et du Congrès des organisations industrielles
(AFL-CIO). Il est né dans le Bronx, à New York. Il a commencé
sa carrière de syndicaliste en tant qu’assistant de recherche
du Syndicat des travailleurs de la confection pour dames. En
1960, il est entré à l’Union internationale des employés des
services en tant que directeur pour New York. Il est devenu
président de l’Union internationale en 1980 pour quatre mandats
consécutifs, puis a été élu président de l’AFL-CIO. |
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Victoria Tauli-Corpuz
(Philippines) |
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directrice exécutive de la Fondation
Tebtebba (Centre international des peuples autochtones pour
la recherche et l’éducation). Militante des droits autochtones,
elle est originaire de la Cordillera aux Philippines. Elle a
fondé et administré diverses organisations non gouvernementales
œuvrant pour la sensibilisation sociale, l’organisation communautaire,
la recherche et le développement. Depuis 1994, elle est membre
et présidente?rapporteur du conseil d’administration du Fonds
de contributions volontaires des Nations Unies pour les populations
autochtones et a été récemment nommée à la Commission nationale
sur le rôle des femmes philippines, qui représente les peuples
autochtones. |
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Aminata D. Traoré (Mali) |
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auteur et coordinatrice du Forum
social africain. Mme Traoré a été ministre de la Culture et
du Tourisme et elle a œuvré dans plusieurs domaines importants
du développement — entre autres, relations Nord-Sud, coopération
bilatérale et multilatérale, services de fourniture d’eau, santé,
égalité entre les sexes, développement communautaire. Elle a
milité dans plusieurs organisations non gouvernementales qui
défendent les valeurs et connaissances locales, et a co-organisé
le premier Forum social africain qui s’est tenu à Bamako en
janvier 2002. |
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Zwelinzima Vavi (Afrique du Sud) |
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Secrétaire général du Congrès des
syndicats sud-africains (COSATU). M. Vavi a travaillé à Klerksdrop
et Orkney, territoires de mines d’or, et est devenu membre de
l’Union nationale des travailleurs des mines en 1987. En 1988,
il a été nommé secrétaire régional du COSATU pour le Transvaal
occidental. Quatre ans plus tard, il en est devenu le secrétaire
exécutif national, puis le secrétaire général adjoint de 1993
à 1999. |
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Ernst Ulrich von Weizsäcker (Allemagne) |
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scientifique et parlementaire.
Membre du Bundestag depuis 1998, M. von Weizsäcker est actuellement
président d’une commission parlementaire qui traite du sujet
«mondialisation de l’économie mondiale: défis et réponses».
Biologiste et physicien éminent, il a été directeur du Centre
des Nations Unies pour la science et la technique au service
du développement et de l’Institut pour une politique européenne
de l’environnement. Membre du Club de Rome depuis 1991, il a
écrit et publié un grand nombre d’ouvrages sur la politique
publique et les questions liées à l’environnement et à l’énergie. |
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