La technique DO NOU pour réhabiliter les pistes rurales et créer des emplois décents à Amboasary
Dans le cadre du projet de l’OIT “Travaux verts pour la résilience des communautés face à la Covid-19 et la Sécheresse” financé par la Population du JAPON, M. Coffi AGOSSOU, Directeur du Bureau Pays de l’OIT et son équipe ont visité le 16 novembre 2023 le chantier DO NOU dans la commune rurale d’Amboasary, région ANOSY où les experts de l’ONG japonais CORE nous ont fait découvrir cette technique qui consiste à remblayer efficacement les crevasses sur les pistes rurales.
La piste agricole choisie est stratégique pour l’évacuation des récoltes de la région notamment quand les rivières de la zone débordent et rendent impraticables certaines routes inter-rurales.
Dans le cadre de ces travaux qui vont couvrir 2 kms cumulés de routes, le projet emploie près de 500 jeunes payés au taux horaire en vigueur. En plus, selon les accords, l’ONG a obligation de former certains jeunes qui seront en mesure d’appliquer la technique DO NOU sur d’autres chantiers à la fin du projet.
"Comme vous le savez, l’OIT fait la promotion du travail décent et nous voulons créer des emplois. Dans le cadre de ce projet financé par le peuple japonais, juste dans ce secteur, nous allons créer près de 500 emplois qui seront rémunérés avec des taux horaires reconnus par l’Etat malagasy. L’approche DO NOU va consister à réhabiliter cette route qui est utilisée largement par la population et surtout lorsqu’il pleut et que la rivière d’à côté est inondée. Ainsi, dans le contexte de cette approche, nous avons demandé à l’ONG CORE de former les jeunes de la localité à cette approche et lorsqu’ils seront formés, plus tard, ils vont encore performer dans cette même formation de l’utilisation de l’approche DO NOU et quand le projet sera terminé, ce transfert de compétences à la main-d’œuvre locale serait acquis. Et ce sera cette nouvelle main-d’œuvre qui peut justement travailler avec la région, avec le Gouverneur, les ingénieurs de la région, pour pouvoir appliquer cette même technologie DO NOU sur d’autres chantiers qui seront bien sûr supervisés par la région. Et cela est un acquis très important du projet, c’est-à-dire, le transfert de compétences à la main-d’œuvre locale et nous privilégions les jeunes hommes et les jeunes femmes", a déclaré M. Coffi Agossou lors d’un interview durant la visite sur terrain.
La piste agricole choisie est stratégique pour l’évacuation des récoltes de la région notamment quand les rivières de la zone débordent et rendent impraticables certaines routes inter-rurales.
Dans le cadre de ces travaux qui vont couvrir 2 kms cumulés de routes, le projet emploie près de 500 jeunes payés au taux horaire en vigueur. En plus, selon les accords, l’ONG a obligation de former certains jeunes qui seront en mesure d’appliquer la technique DO NOU sur d’autres chantiers à la fin du projet.
"Comme vous le savez, l’OIT fait la promotion du travail décent et nous voulons créer des emplois. Dans le cadre de ce projet financé par le peuple japonais, juste dans ce secteur, nous allons créer près de 500 emplois qui seront rémunérés avec des taux horaires reconnus par l’Etat malagasy. L’approche DO NOU va consister à réhabiliter cette route qui est utilisée largement par la population et surtout lorsqu’il pleut et que la rivière d’à côté est inondée. Ainsi, dans le contexte de cette approche, nous avons demandé à l’ONG CORE de former les jeunes de la localité à cette approche et lorsqu’ils seront formés, plus tard, ils vont encore performer dans cette même formation de l’utilisation de l’approche DO NOU et quand le projet sera terminé, ce transfert de compétences à la main-d’œuvre locale serait acquis. Et ce sera cette nouvelle main-d’œuvre qui peut justement travailler avec la région, avec le Gouverneur, les ingénieurs de la région, pour pouvoir appliquer cette même technologie DO NOU sur d’autres chantiers qui seront bien sûr supervisés par la région. Et cela est un acquis très important du projet, c’est-à-dire, le transfert de compétences à la main-d’œuvre locale et nous privilégions les jeunes hommes et les jeunes femmes", a déclaré M. Coffi Agossou lors d’un interview durant la visite sur terrain.