La France est un Etat fondateur de l’OIT, crée en 1919. L’engagement français envers les droits fondamentaux ainsi que la promotion de la justice sociale se manifeste à travers le nombre élevé de ratifications des Conventions de l’OIT par la France dont 8 Conventions fondamentales, 4 Conventions du gouvernance et 115 Conventions techniques.
En plus des contributions fixées pour les Etats membres de l’OIT, la France soutient les objectifs de l’OIT à travers ses contributions volontaires au programme de coopération au développement de l’OIT. Ces contributions sont principalement acheminées par le Ministère du Travail et l’Agence Française de Développement (AFD). La France est l’un des 20 principaux contributeurs du financement volontaire à l’OIT.
Les contributions stratégiques de la France à l'OIT
La France finance l'OIT à travers:
Les contributions fixées pour les Etats Membres de l’OIT en vertu de leur adhésion. Ces contributions constituent le financement de base de l’OIT. Entre 2017 et 2021, la France a fourni plus de US$ 90.3 million.
Les contributions volontaires pour la coopération technique fournies en tant que fonds pré-affectés destinés aux thémes et projets prioritaires. Entre 2017 et 2021, la France a fourni US$ 19.9 million.
Contributions financières de la France à l'OIT, 2017-21 (US$ 110.8M)
Le soutien de la France aux interventions de l’OIT
Avec l'appui financier de la France, l’OIT met en œuvre des programmes au Burkina Faso, au Togo, en Tunisie, au Bénin, au Mali, en Mauritanie, à Madagascar, en Côte d’Ivoire, au Cambodge, en Gambie et au Sénégal et bénéficie également d'un certain nombre de détachements des experts français à l'OIT. Consultez le portefeuille de la France
Priorités françaises de développent et de solidarité internationale
La lutte contre le changement climatique et la préservation de l’environnement;
Le développement humain et l’égalité entre les femmes et les hommes ;
Le développement économique permettant le progrès social ;
Le renforcement des droits de l’Homme, de la stabilité et de la paix.
Le gouvernement français investi un minimum de 50 pourcent de ses fonds pour l'aide au développement dans les pays suivants : Bénin, Burkina Faso, Burundi, Comores, Djibouti, Ethiopie, Gambie, Guinée, Haïti, Libéria, Madagascar, Mali, Mauritanie, Niger, République centrafricaine, République démocratique du Congo, Sénégal, Tchad et Togo.