110e session de la Conférence internationale du Travail (2022)

Accès aux débats de la Conférence par les mandants de l'OIT non accrédités et le grand public

Les mandants tripartites ou représentants supplémentaires des organisations invités en qualité d’observateur non inclus dans les délégations officielles à la Conférence, ou tout autre groupe ou personne, peuvent également suivre les débats de la Conférence et de ses commissions comme expliqué ci-dessous.

Séances plénières de la Conférence

Toute personne intéressée par les séances plénières pourra les suivre en direct ou en différé depuis le site Web de la Conférence. Aucun code d'accès ou demande n'est nécessaire.

Commissions et réunions de groupes

Pour les mandants de l'OIT, l'accès aux séances publiques des commissions et aux réunions des groupes des employeurs, des travailleurs ou gouvernementaux régionaux n'est possible que sur demande.

Les demandes des gouvernements et des organisations d'employeurs et de travailleurs visant à permettre à leurs représentants non accrédités à la Conférence d'assister aux réunions des groupes et de suivre les réunions des commissions doivent être envoyées par le biais de ce formulaire, en indiquant le nom complet, la fonction et les coordonnées de la personne qui soumet la demande, aux adresses électroniques suivantes:
Les membres des organisations académiques, d'étudiants, de la société civile ou le grand public souhaitant suivre les débats des commissions doivent adresser leur demande à reloff-conf@ilo.org en indiquant la commission qui les intéresse, ainsi que le nom complet et l'adresse électronique de la ou les personnes souhaitant observer les travaux de la commission en question.

Les liens Zoom pour assister aux réunions des commissions et des groupes seront émis dans les meilleurs délais, mais au plus tôt le lendemain du jour de réception de la demande.

Il est rappelé aux personnes invitées à suivre les débats des groupes et des commissions que l'enregistrement des séances n'est pas autorisé. Il leur est également rappelé que l'utilisation des médias sociaux ne doit pas interférer avec les travaux des commissions et qu'elles doivent s'abstenir de publier des commentaires sur les débats.