Campagne mondiale de l’OIT contre le travail forcé
C’est écrit noir sur blanc – mettons fin à l’esclavage moderne maintenant!
Le Prix Nobel Kailash Satyarthi a dévoilé le panneau des signatures «50 For Freedom» en soutien à la campagne mondiale pour mettre fin au travail forcé.
GENÈVE – Le lauréat du Prix Nobel de la paix, Kailash Satyarthi, a lancé la nouvelle campagne mondiale de l’OIT en vue d’éradiquer le travail forcé – 50 for Freedom.
Dans la salle des droits de l’homme des Nations Unies, M. Satyarthi a dévoilé un mur couvert de signatures marquant le soutien à la campagne. Le lauréat du Nobel a déclaré: «L’esclavage et la civilisation ne peuvent coexister – c’est intolérable, inacceptable, et ce n’est pas négociable. Nous devons agir dès maintenant, nous devons le faire maintenant.»
L’OIT estime que 21 millions de personnes sont victimes du travail forcé dans le monde, ce qui génère environ 150 milliards de dollars de profits illicites par an.
En 2014, les délégués gouvernementaux, employeurs et travailleurs à la Conférence internationale du Travail (CIT) ont voté à une majorité écrasante l’adoption d’un Protocole et d’une recommandation qui complètent la convention (n° 29) sur le travail forcé, 1930 et comprennent des mesures relatives à la prévention, à la protection et à la réparation.
La campagne «50 For Freedom» va promouvoir la ratification et l’application du Protocole sur le travail forcé, l’objectif étant que 50 premiers Etats Membres l’aient ratifié d’ici à 2018.
Pendant cette session de la CIT, plus d’un millier de délégués, d’employés des Nations Unies et de visiteurs ont apposé leur signature sur un panneau de 6 mètres de long afin d’exprimer leur soutien à la campagne pour l’abolition de l’esclavage moderne. Parmi eux, le Directeur général de l’OIT, Guy Ryder, M. Satyarthi et les présidents français et panaméen.
Le Niger fut le premier pays à ratifier le Protocole relatif à la convention sur le travail forcé quand M. Salissou Ada, ministre nigérien de l’Emploi, du Travail et de la Sécurité sociale, a déposé les instruments de ratification auprès de l’OIT pendant la CIT.
Pour soutenir la campagne «50 For Freedom», veuillez consulter 50forfreedom.org ou communiquer avec le mot-dièse #50FF.
Dans la salle des droits de l’homme des Nations Unies, M. Satyarthi a dévoilé un mur couvert de signatures marquant le soutien à la campagne. Le lauréat du Nobel a déclaré: «L’esclavage et la civilisation ne peuvent coexister – c’est intolérable, inacceptable, et ce n’est pas négociable. Nous devons agir dès maintenant, nous devons le faire maintenant.»
L’OIT estime que 21 millions de personnes sont victimes du travail forcé dans le monde, ce qui génère environ 150 milliards de dollars de profits illicites par an.
En 2014, les délégués gouvernementaux, employeurs et travailleurs à la Conférence internationale du Travail (CIT) ont voté à une majorité écrasante l’adoption d’un Protocole et d’une recommandation qui complètent la convention (n° 29) sur le travail forcé, 1930 et comprennent des mesures relatives à la prévention, à la protection et à la réparation.
La campagne «50 For Freedom» va promouvoir la ratification et l’application du Protocole sur le travail forcé, l’objectif étant que 50 premiers Etats Membres l’aient ratifié d’ici à 2018.
Pendant cette session de la CIT, plus d’un millier de délégués, d’employés des Nations Unies et de visiteurs ont apposé leur signature sur un panneau de 6 mètres de long afin d’exprimer leur soutien à la campagne pour l’abolition de l’esclavage moderne. Parmi eux, le Directeur général de l’OIT, Guy Ryder, M. Satyarthi et les présidents français et panaméen.
Le Niger fut le premier pays à ratifier le Protocole relatif à la convention sur le travail forcé quand M. Salissou Ada, ministre nigérien de l’Emploi, du Travail et de la Sécurité sociale, a déposé les instruments de ratification auprès de l’OIT pendant la CIT.
Pour soutenir la campagne «50 For Freedom», veuillez consulter 50forfreedom.org ou communiquer avec le mot-dièse #50FF.