National Legislation on Labour and Social Rights
Global database on occupational safety and health legislation
Employment protection legislation database
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Répétition Articles 1 et 2 de la convention. Mise en œuvre d’une politique active de l’emploi. Coordination de la politique de l’emploi avec les stratégies de lutte contre la pauvreté. Dans ses précédents commentaires, la commission a invité le gouvernement à donner des informations sur les résultats de sa politique active de l’emploi en termes de création d’emplois et de réduction de la pauvreté. La commission note que le rapport du gouvernement ne contient pas d’information sur ce point. Réitérant donc sa demande, la commission prie le gouvernement de donner des informations actualisées, incluant des données statistiques ventilées par sexe et par âge, sur les effets de sa politique active de l’emploi en termes de création d’emplois et de réduction de la pauvreté. De même, elle le prie à nouveau de communiquer des informations actualisées sur les effets des mesures prises pour promouvoir l’intégration dans le marché du travail des personnes au chômage, y compris des femmes, des jeunes et des personnes handicapées. Politiques de l’éducation et de la formation professionnelle. Dans ses précédents commentaires, la commission a prié le gouvernement de donner des informations sur les moyens par lesquels est assurée une coordination effective entre les programmes de formation et l’emploi et sur les programmes de formation, ainsi que des données statistiques faisant apparaître le nombre des personnes ayant accédé à un emploi durable au terme de leur formation. La commission prend note des données statistiques communiquées par le gouvernement faisant apparaître que le nombre des centres de formation à Bagdad et dans les autres gouvernorats (Kurdistan excepté) est passé de 34 à 38 et que 401 ateliers de formation ont été organisés dans ces centres au cours de la période couverte par le rapport. Le gouvernement ajoute que 71 programmes de formation professionnelle ont été déployés pour assurer une formation axée sur l’informatique dans les centres de formation suivants: Know about Business; Business innovation; et Life Skills. Se référant à ses commentaires de 2014 concernant l’application de la convention (nº 142) sur la mise en valeur des ressources humaines, 1975, la commission prie à nouveau le gouvernement de donner, dans son prochain rapport relatif à la convention no 122, des informations montrant de quelle manière il assure une coordination effective entre ses programmes d’orientation et de formation professionnelles et ses programmes de politique de l’emploi, et de fournir des informations détaillées sur la teneur des programmes de formation professionnelle, de même que des données statistiques ventilées par âge et par sexe faisant apparaître le nombre de participants ayant accédé à un emploi durable au terme de leur formation. Elle le prie également de donner des informations sur les mesures prises ou envisagées pour assurer la coordination entre le contenu de ses programmes d’orientation et de formation professionnelle et les opportunités existantes et futures du marché de l’emploi afin de répondre aux besoins actuels et futurs de celui-ci. Article 2. Collecte et analyse de données relatives à l’emploi. La commission avait demandé au gouvernement de communiquer des statistiques actualisées illustrant la situation et les tendances de l’emploi. Elle note que le gouvernement déclare que de telles données ne sont pas disponibles. Réitérant sa demande, la commission prie le gouvernement de communiquer, lorsque de telles informations seront disponibles, des statistiques actualisées, ventilées par âge et par sexe, illustrant la situation et les tendances de l’emploi, du chômage et du sous-emploi, tant dans l’économie formelle que dans l’économie informelle. Article 3. Participation des partenaires sociaux à la formulation et à l’application des politiques. Le gouvernement indique que, en application de l’article 17 de la loi no 37 de 2015 portant Code du travail, le ministre du Travail a élaboré un projet de directive concernant la création de la Haute Commission pour la planification et l’emploi de la main-d’œuvre, commission tripartite qui aura pour mission de formuler la politique publique de l’emploi et de la formation professionnelle. La commission prie le gouvernement de communiquer dans son prochain rapport des informations actualisées sur la mise en place et les activités de la Haute Commission pour la planification et l’emploi de la main d’œuvre.
Articles 1 et 2 de la convention. Mise en œuvre d’une politique active de l’emploi. La commission prend note des informations fournies par le gouvernement dans son rapport communiqué en septembre 2009, en réponse à la demande directe de 2008. Le gouvernement indique qu’il travaille en coordination avec le BIT, les partenaires sociaux ainsi qu’une équipe technique spécialisée à laquelle participent des professeurs universitaires. Le travail de cette équipe vise à préparer une politique nationale de l’emploi et à mettre en place un cadre spécial relatif à l’enseignement et à la formation professionnelle. La commission invite le gouvernement à inclure dans son prochain rapport des informations sur les progrès accomplis dans l’élaboration et la mise en œuvre d’une politique nationale de l’emploi, ainsi que du cadre spécial relatif à l’enseignement et à la formation professionnelle. La commission invite également le gouvernement à inclure des informations actualisées sur l’impact des mesures prises pour créer des emplois productifs dans le cadre de la Stratégie pour la réduction de la pauvreté.
La commission a pris connaissance du Programme de développement du secteur privé, élaboré en coordination avec plusieurs agences des Nations Unies, afin de mettre en place un cadre d’action dynamique pour le développement du secteur privé. Ce programme vise essentiellement à développer et à augmenter les opportunités d’emploi, à travers la promotion d’un environnement juridique favorable à la création d’entreprises, incluant les petites et moyennes entreprises. Dans l’étude d’ensemble de 2010, la commission souligne que la recommandation (no 189) sur la création d’emplois dans les petites et moyennes entreprises, 1998, est un cadre spécifique qui assure que les petites et moyennes entreprises, ainsi que les microentreprises, créent des emplois qui soient en conformité avec les normes internationales du travail. A cet égard, la commission invite le gouvernement à inclure dans son prochain rapport des informations sur les mesures adoptées «en vue de créer un environnement favorable à la croissance et au développement des petites et moyennes entreprises» (voir paragraphe 5 de la recommandation no 189).
Mesures pour promouvoir l’emploi de catégories particulières de travailleurs. Le gouvernement indique que des fonds spéciaux ont été alloués permettant l’attribution de prêts à environ 100 000 demandeurs d’emploi, parmi lesquels figuraient les jeunes, les diplômés, les déplacés ainsi que les familles ayant subi des dommages. De même, 93 000 projets ont été à ce jour réalisés dans différentes régions du pays, qui avaient généré plus de 120 000 emplois. Le gouvernement indique également que le programme de réhabilitation communautaire destiné aux catégories de travailleurs les plus vulnérables, comme les personnes handicapées, les veuves et les épouses de travailleurs handicapés, est toujours en cours de mise en œuvre, et que des prêts ont été attribués à ces catégories de travailleurs afin de leur faciliter le lancement de petits projets. Le gouvernement indique que le suivi de ces projets est assuré afin de contrôler leur efficacité et les appuyer économiquement. La commission invite le gouvernement à inclure dans son prochain rapport des informations plus détaillées sur l’impact des mesures prises en faveur de catégories particulières de travailleurs, tels que les femmes, les jeunes, les travailleurs âgés et les personnes handicapées, en termes d’insertion sur le marché du travail.
Article 2. Collecte et utilisation des données sur l’emploi. Le gouvernement indique que des efforts sont réalisés en coordination avec l’Office central des statistiques afin d’évaluer les besoins du marché du travail, en matière d’orientation et de formation professionnelles. La commission invite le gouvernement à fournir dans son prochain rapport des statistiques détaillées sur la situation et les tendances de l’emploi, du chômage et du sous-emploi, aussi bien dans l’économie formelle que dans l’économie informelle.
Article 3. Participation des partenaires sociaux. Le gouvernement indique qu’une réunion de la Haute Commission nationale de l’emploi et de la formation professionnelle s’est tenue les 4 et 5 janvier 2009, et qu’elle avait pour but de revoir ses travaux et préparer des recommandations pour les soumettre au secrétariat du Conseil des ministres qui, à son tour, les transmet aux autres ministères afin de prendre les mesures nécessaires. La commission invite le gouvernement à indiquer dans son prochain rapport les recommandations formulées par la Haute Commission nationale de l’emploi et de la formation professionnelle sur les matières couvertes par la convention. Elle prie également le gouvernement de fournir des précisions supplémentaires sur la participation des partenaires sociaux dans la conception et la mise en œuvre des politiques de l’emploi.
La commission prend note des informations communiquées dans le rapport du gouvernement reçu en septembre 2008. Le gouvernement indique que, outre l’appui fourni par les institutions des Nations Unies, il existe un certain nombre de programmes de coopération en cours, de même qu’un appui fourni par l’OIT, axé sur le renforcement des capacités nationales concernant l’emploi et la formation professionnelle, dans l’objectif du développement du capital humain. La commission espère que le gouvernement communiquera dans son prochain rapport des informations sur les mesures prises pour élaborer et mettre en œuvre une politique active de l’emploi au sens de la convention, avec l’assistance de l’OIT et d’autres institutions internationales, et sur les résultats de ces mesures. Le gouvernement est également invité à y inclure des informations sur les points suivants.
Articles 1 et 2 de la convention. Politiques du marché du travail. Le gouvernement indique que les personnes au chômage sont enregistrées auprès des agences pour l’emploi implantées dans tout le pays, et que les données les concernant sont enregistrées dans une base de données. Un programme pour l’emploi est établi pour ces demandeurs d’emploi. Il consiste à identifier les possibilités d’emploi et aussi à accorder de modestes prêts qui facilitent le démarrage d’activités génératrices de revenus. Des efforts sont également déployés pour procurer des possibilités d’emploi aux personnes ayant des besoins particuliers et pour que des aides soient accordées à certaines catégories de demandeurs d’emploi pour une période spécifique. La commission prie le gouvernement de fournir dans son prochain rapport des informations sur les résultats de ces programmes en termes de création d’emplois et sur la manière dont ces programmes sont revus dans le cadre d’une politique économique et sociale coordonnée. Elle le prie également de fournir des informations sur les modalités selon lesquelles il prévoit de renforcer les services de l’emploi afin de répondre aux besoins des catégories de travailleurs les plus vulnérables comme les femmes, les jeunes travailleurs, les travailleurs âgés et les personnes handicapées.
Article 2. Le gouvernement est prié de fournir dans son prochain rapport des informations plus précises sur les efforts déployés pour améliorer les capacités d’évaluation de la situation et des tendances de l’emploi, du chômage et du sous-emploi, dans l’économie formelle comme dans l’économie informelle.
Article 3. Participation des partenaires sociaux. Le gouvernement indique dans son rapport qu’il existe une concertation sur les politiques de l’emploi entre les représentants des différents ministères et ceux des organisations d’employeurs et de travailleurs, grâce à un comité national de haut niveau présidé par le ministre du Travail et des Affaires sociales. La commission souhaiterait disposer de plus amples informations sur les consultations menées avec les représentants des partenaires sociaux, à la fois pour l’élaboration des politiques de l’emploi et pour la mise en œuvre des mesures décidées dans ce cadre.
La commission note que, dans son rapport reçu en juin 2002, le gouvernement reprend la déclaration succincte qui figurait dans sa communication précédente. La commission prie à nouveau le gouvernement de lui fournir des informations qui lui permettent d’apprécier dans quelle mesure une politique active visant à promouvoir le plein emploi, productif et librement choisi, est élaborée et appliquée dans le cadre d’une politique économique et sociale coordonnée, en consultation avec l’ensemble des personnes intéressées, conformément aux articles 1, 2 et 3 de la convention. La commission exprime l’espoir que le gouvernement adressera un rapport détaillé sur l’ensemble des points soulevés dans le formulaire de rapport adopté par le Conseil d’administration.
Dans ses commentaires précédents, la commission avait demandé au gouvernement de lui fournir des informations pour qu’elle puisse évaluer dans quelle mesure une politique active visant à promouvoir le plein emploi, productif et librement choisi est élaborée et appliquée dans le cadre d’une politique économique et sociale coordonnée, en consultation avec l’ensemble des personnes intéressées, conformément aux articles 1, 2 et 3 de la convention. La commission prend note de l’indication succincte du gouvernement qui figure dans son rapport reçu en octobre 2000. Elle lui demande de nouveau de soumettre un rapport détaillé sur l’ensemble des points soulevés dans le formulaire de rapport adopté par le Conseil d’administration.
La commission constate de nouveau que le rapport du gouvernement ne contient pas de réponses aux commentaires précédents. Elle espère que le prochain rapport fournira des informations complètes sur l'effet donné à la convention, en réponse à chacune des questions posées dans le formulaire de rapport approuvé par le Conseil d'administration. Elle prie en particulier le gouvernement d'indiquer les objectifs qui ont été fixés en matière d'emploi dans les plans et programmes mentionnés, et de fournir des informations détaillées sur les mesures mises en oeuvre afin de les atteindre. La commission prie le gouvernement de fournir dans son prochain rapport des informations qui lui permettront d'évaluer dans quelle mesure une politique active de promotion du plein emploi, productif et librement choisi est formulée et appliquée, dans le cadre d'une politique économique et sociale coordonnée, et en consultation avec l'ensemble des milieux intéressés, conformément aux articles 1, 2 et 3 de la convention.
La commission constate que le rapport du gouvernement ne contient pas de réponse aux commentaires antérieurs. Elle espère que le prochain rapport fournira des informations complètes sur les points soulevés dans sa précédente demande directe, qui était conçue dans les termes suivants:
La commission a pris note des brèves indications d'ordre général fournies par le gouvernement dans son rapport pour la période se terminant en juin 1994, ainsi que des données statistiques portant sur l'emploi qui ont été communiquées séparément. Se référant à ses commentaires antérieurs, la commission ne peut qu'inviter à nouveau le gouvernement à fournir, dans son prochain rapport, des informations complètes sur l'effet donné à la convention, en réponse à chacune des questions du formulaire de rapport approuvé par le Conseil d'administration.
La commission rappelle à cet égard qu'elle avait notamment demandé au gouvernement de préciser les objectifs de l'emploi définis par les plans et programmes qu'il mentionne et de fournir des informations détaillées sur les mesures mises en oeuvre afin de les atteindre.
La commission espère trouver dans le prochain rapport du gouvernement les informations qui lui permettront d'évaluer dans quelle mesure une politique active de promotion du plein emploi, productif et librement choisi est formulée et appliquée, dans le cadre d'une politique économique et sociale coordonnée, et en consultation avec l'ensemble des milieux intéressés, conformément aux articles 1, 2 et 3 de la convention.
La commission note que le rapport n'a pas été reçu. Elle espère qu'un rapport sera fourni pour examen par la commission à sa prochaine session et qu'il contiendra des informations complètes sur les points soulevés dans sa précédente demande directe, qui était conçue dans les termes suivants:
La commission note avec regret que le rapport n'a pas été reçu. Elle espère qu'un rapport sera fourni pour examen par la commission à sa prochaine session et qu'il contiendra des informations complètes sur les points soulevés dans sa précédente demande directe qui était conçue dans les termes suivants:
La commission saurait gré au gouvernement de fournir dans son prochain rapport des informations complètes sur l'application de la convention en se référant notamment aux points suivants:
1. La commission note les données chiffrées (pour 1989) relatives au nombre de travailleurs communiquées par le gouvernement. Elle observe toutefois que ces données portent sur un total de 262.055 travailleurs (y compris des non-nationaux) employés dans les entreprises des secteurs privé, mixte et coopératif. Elle relève, par ailleurs, que l'annuaire statistique publié par l'Organisation centrale statistique faisait apparaître en 1988 un total de 943.938 personnes employées dans les secteurs socialiste et mixte. Quant à la population active totale, elle s'établissait, selon les résultats du recensement de 1987 reproduits dans l'Annuaire des statistiques du travail du BIT, à 3.956.345 personnes. La commission saurait gré au gouvernement de fournir les données statistiques disponibles sur la situation, le niveau et les tendances de l'emploi, du chômage et du sous-emploi dans l'ensemble des secteurs de l'activité économique (article 1 de la convention). Prière de décrire les mesures prises pour rassembler et analyser les données statistiques pertinentes en tant que base des décisions relatives aux politiques de l'emploi (article 2).
2. Le gouvernement indique qu'il veille à l'application des dispositions de la convention par l'intermédiaire de plans et de programmes visant à relever le niveau de l'emploi et à répondre aux besoins de catégories particulières de travailleurs telles que les femmes, les jeunes et les personnes handicapées. Prière de préciser les objectifs de l'emploi définis par ces plans et programmes et de fournir, en se référant aux questions du formulaire de rapport, des informations détaillées sur les mesures mises en oeuvre afin de les atteindre. Prière notamment de décrire les mesures d'ajustement de la main-d'oeuvre aux changements structurels résultant de divers facteurs, et de préciser les difficultés rencontrées pour promouvoir les objectifs de la convention tels que définis à l'article 1, paragraphe 2 a), b) et c).
3. La commission note les informations portant sur les activités des centres de formation et invite le gouvernement à continuer de fournir des informations sur les mesures prises en vue d'assurer la coordination des politiques de l'éducation et de la formation avec les perspectives de l'emploi.
4. Enfin, prière de fournir des informations sur la manière dont sont consultés les représentants des milieux intéressés au sujet des politiques de l'emploi (article 3).
La commission a pris note des deux rapports successifs du gouvernement (pour les périodes se terminant en juin 1990 et en juin 1991) et des informations qu'ils contiennent en réponse à sa précédente demande directe. Elle saurait gré au gouvernement de fournir dans son prochain rapport des informations complètes sur l'application de la convention en se référant notamment aux points suivants:
1. La commission note les données chiffrées (pour 1989) relatives au nombre de travailleurs communiquées par le gouvernement. Elle observe toutefois que ces données portent sur un total de 262.055 travailleurs (y compris des non-nationaux) employés dans les entreprises des secteurs privé, mixte et coopératif. Elle relève, par ailleurs que l'annuaire statistique publié par l'Organisation centrale statistique faisait apparaître en 1988 un total de 943.938 personnes employées dans les secteurs socialiste et mixte. Quant à la population active totale, elle s'établissait, selon les résultats du recensement de 1987 reproduits dans l'Annuaire des statistiques du travail du BIT, à 3.956.345 personnes. La commission saurait gré au gouvernement de fournir les données statistiques disponibles sur la situation, le niveau et les tendances de l'emploi, du chômage et du sous-emploi dans l'ensemble des secteurs de l'activité économique (article 1 de la convention). Prière de décrire les mesures prises pour rassembler et analyser les données statistiques pertinentes en tant que base des décisions relatives aux politiques de l'emploi (article 2).
1. La commission a pris note des informations succinctes contenues dans le rapport du gouvernement. Elle prie le gouvernement de fournir un rapport complet contenant des informations détaillées sur l'application de la convention.
2. Prière de fournir les données disponibles sur la situation, le niveau et les tendances de l'emploi, du chômage et du sous-emploi, tant en milieu urbain qu'en milieu rural, et en ce qui concerne des catégories particulières de travailleurs comme, par exemple, les femmes, les jeunes et les handicapés. Prière de fournir les informations précédemment requises sur les plans et programmes, adoptés ou en cours d'élaboration, les objectifs de l'emploi qui y sont définis et la mesure dans laquelle ils sont en cours d'être atteints. Prière d'indiquer les mesures destinées à satisfaire les besoins des catégories particulières précitées.
3. En réponse à la demande directe précédente, le gouvernement indique que l'organisme de la formation professionnelle a été supprimé et que ses fonctions ont été confiées au service du travail et de la formation professionnelle relevant du ministère du Travail. La commission se réfère à sa demande directe sur la convention no 142 et prie le gouvernement d'inclure dans son prochain rapport des informations détaillées sur les activités des centres de formation professionnelle établis à Bagdad et dans les gouvernorats, et, plus généralement, sur les mesures prises en vue d'assurer la coordination des politiques de l'éducation et de la formation avec les perspectives de l'emploi.