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Répétition Contribution du service de l’emploi à la promotion de l’emploi. La commission prend note du rapport reçu en septembre 2013 dans lequel le gouvernement indique que les services publics de l’emploi ne sont pas tout à fait opérationnels faute de financement adéquat et d’un cadre politique en la matière. La commission prend aussi note que, outre le Département du service de l’emploi et le Centre pilote pour l’emploi qui ont été créés au sein du ministère du Travail, le gouvernement a institué, en 2011, un observatoire de l’emploi et de la formation professionnelle qui est chargé de recueillir et d’analyser des informations sur le marché du travail. Le gouvernement souligne qu’il s’emploie activement à la mise en service prochaine de l’observatoire. La commission prend également note que la politique en matière d’emploi est encore en voie d’élaboration. À cette fin, un groupe de travail a été institué pour poursuivre l’élaboration commencée en 2004 d’un document qui donne un aperçu de la situation de l’emploi et définit les domaines ainsi que les mesures susceptibles de favoriser l’emploi dans le pays. Enfin, la commission prend note de l’indication du gouvernement selon laquelle le document afférent à la Stratégie nationale de réduction de la pauvreté (DENARP) définit la promotion de l’emploi comme ligne d’action de son troisième axe stratégique. La commission rappelle en outre que, dans son Étude d’ensemble sur les instruments relatifs à l’emploi, 2010, elle indique que le service public de l’emploi fait partie des institutions nécessaires pour parvenir au plein emploi. La convention (no 88) sur le service de l’emploi, 1948, la convention (no 122) sur la politique de l’emploi, 1964, et la convention (no 181) sur les agences d’emploi privées, 1997, constituent toutes trois un socle nécessaire à la croissance de l’emploi (voir Étude d’ensemble, 2010, paragr. 785 à 790). La commission exprime donc à nouveau l’espoir qu’une politique nationale de l’emploi sera prochainement adoptée et que des mesures seront prises pour renforcer les services de l’emploi destinés aux jeunes, notamment les services situés hors de la capitale. La commission prie le gouvernement de fournir de plus amples informations sur le fonctionnement du service public de l’emploi ainsi que sur les mesures prises pour renforcer les institutions nécessaires à la réalisation du plein emploi. La commission invite le gouvernement à joindre au rapport dû en 2015 des informations actualisées sur les mesures adoptées aux fins de la meilleure organisation possible du marché de l’emploi comme partie intégrante du programme national tendant à assurer et à maintenir le plein emploi ainsi qu’à développer et à utiliser les ressources productives (articles 1 et 3 de la convention), en coopération avec les partenaires sociaux (articles 4 et 5). Enfin, la commission espère que l’observatoire de l’emploi et de la formation professionnelle sera bientôt opérationnel et qu’il fournira au gouvernement les informations statistiques sur le nombre de bureaux d’emploi publics créés, le nombre de demandes d’emploi reçues, le nombre d’avis de vacance publiés et le nombre de personnes placées par ces bureaux (Point IV du formulaire de rapport).
Répétition Contribution du service de l’emploi à la promotion de l’emploi. La commission prend note du rapport reçu en septembre 2013 dans lequel le gouvernement indique que les services publics de l’emploi ne sont pas tout à fait opérationnels faute de financement adéquat et d’un cadre politique en la matière. La commission prend aussi note que, outre le Département du service de l’emploi et le Centre pilote pour l’emploi qui ont été créés au sein du ministère du Travail, le gouvernement a institué, en 2011, un observatoire de l’emploi et de la formation professionnelle qui est chargé de recueillir et d’analyser des informations sur le marché du travail. Le gouvernement souligne qu’il s’emploie activement à la mise en service prochaine de l’observatoire. La commission prend également note que la politique en matière d’emploi est encore en voie d’élaboration. A cette fin, un groupe de travail a été institué pour poursuivre l’élaboration commencée en 2004 d’un document qui donne un aperçu de la situation de l’emploi et définit les domaines ainsi que les mesures susceptibles de favoriser l’emploi dans le pays. Enfin, la commission prend note de l’indication du gouvernement selon laquelle le document afférent à la Stratégie nationale de réduction de la pauvreté (DENARP) définit la promotion de l’emploi comme ligne d’action de son troisième axe stratégique. La commission rappelle en outre que, dans son étude d’ensemble sur les instruments relatifs à l’emploi, 2010, elle indique que le service public de l’emploi fait partie des institutions nécessaires pour parvenir au plein emploi. La convention (no 88) sur le service de l’emploi, 1948, la convention (no 122) sur la politique de l’emploi, 1964, et la convention (no 181) sur les agences d’emploi privées, 1997, constituent toutes trois un socle nécessaire à la croissance de l’emploi (voir étude d’ensemble, 2010, paragr. 785 à 790). La commission exprime donc à nouveau l’espoir qu’une politique nationale de l’emploi sera prochainement adoptée et que des mesures seront prises pour renforcer les services de l’emploi destinés aux jeunes, notamment les services situés hors de la capitale. La commission prie le gouvernement de fournir de plus amples informations sur le fonctionnement du service public de l’emploi ainsi que sur les mesures prises pour renforcer les institutions nécessaires à la réalisation du plein emploi. La commission invite le gouvernement à joindre au rapport dû en 2015 des informations actualisées sur les mesures adoptées aux fins de la meilleure organisation possible du marché de l’emploi comme partie intégrante du programme national tendant à assurer et à maintenir le plein emploi ainsi qu’à développer et à utiliser les ressources productives (articles 1 et 3 de la convention), en coopération avec les partenaires sociaux (articles 4 et 5). Enfin, la commission espère que l’observatoire de l’emploi et de la formation professionnelle sera bientôt opérationnel et qu’il fournira au gouvernement les informations statistiques sur le nombre de bureaux d’emploi publics créés, le nombre de demandes d’emploi reçues, le nombre d’avis de vacance publiés et le nombre de personnes placées par ces bureaux (Point IV du formulaire de rapport).
Répétition Contribution du service de l’emploi à la promotion de l’emploi. La commission prend note du rapport reçu en septembre 2013 dans lequel le gouvernement indique que les services publics de l’emploi ne sont pas tout à fait opérationnels faute de financement adéquat et d’un cadre politique en la matière. La commission prend aussi note que, outre le Département du service de l’emploi et le Centre pilote pour l’emploi qui ont été créés au sein du ministère du Travail, le gouvernement a institué, en 2011, un observatoire de l’emploi et de la formation professionnelle qui est chargé de recueillir et d’analyser des informations sur le marché du travail. Le gouvernement souligne qu’il s’emploie activement à la mise en service prochaine de l’observatoire. La commission prend également note que la politique en matière d’emploi est encore en voie d’élaboration. A cette fin, un groupe de travail a été institué pour poursuivre l’élaboration commencée en 2004 d’un document qui donne un aperçu de la situation de l’emploi et définit les domaines ainsi que les mesures susceptibles de favoriser l’emploi dans le pays. Enfin, la commission prend note de l’indication du gouvernement selon laquelle le document afférent à la Stratégie nationale de réduction de la pauvreté (DENARP) définit la promotion de l’emploi comme ligne d’action de son troisième axe stratégique. La commission rappelle en outre que, dans son étude d’ensemble sur les instruments relatifs à l’emploi, 2010, elle indique que le service public de l’emploi fait partie des institutions nécessaires pour parvenir au plein emploi. La convention no 88, la convention no (122) sur la politique de l’emploi, 1964, et la convention no (181) sur les agences d’emploi privées, 1997, constituent toutes trois un socle nécessaire à la croissance de l’emploi (voir étude d’ensemble, 2010, paragr. 785 à 790). La commission exprime donc à nouveau l’espoir qu’une politique nationale de l’emploi sera prochainement adoptée et que des mesures seront prises pour renforcer les services de l’emploi destinés aux jeunes, notamment les services situés hors de la capitale. La commission prie le gouvernement de fournir de plus amples informations sur le fonctionnement du service public de l’emploi ainsi que sur les mesures prises pour renforcer les institutions nécessaires à la réalisation du plein emploi. La commission invite le gouvernement à joindre au rapport dû en 2015 des informations actualisées sur les mesures adoptées aux fins de la meilleure organisation possible du marché de l’emploi comme partie intégrante du programme national tendant à assurer et à maintenir le plein emploi ainsi qu’à développer et à utiliser les ressources productives (articles 1 et 3 de la convention), en coopération avec les partenaires sociaux (articles 4 et 5). Enfin, la commission espère que l’observatoire de l’emploi et de la formation professionnelle sera bientôt opérationnel et qu’il fournira au gouvernement les informations statistiques sur le nombre de bureaux d’emploi publics créés, le nombre de demandes d’emploi reçues, le nombre d’avis de vacance publiés et le nombre de personnes placées par ces bureaux (Point IV du formulaire de rapport).
Répétition Contribution du service de l’emploi à la promotion de l’emploi. La commission prend note du rapport reçu en septembre 2013 dans lequel le gouvernement indique que les services publics de l’emploi ne sont pas tout à fait opérationnels faute de financement adéquat et d’un cadre politique en la matière. La commission prend aussi note que, outre le Département du service de l’emploi et le Centre pilote pour l’emploi qui ont été créés au sein du ministère du Travail, le gouvernement a institué, en 2011, un observatoire de l’emploi et de la formation professionnelle qui est chargé de recueillir et d’analyser des informations sur le marché du travail. Le gouvernement souligne qu’il s’emploie activement à la mise en service prochaine de l’observatoire. La commission prend également note que la politique en matière d’emploi est encore en voie d’élaboration. A cette fin, un groupe de travail a été institué pour poursuivre l’élaboration commencée en 2004 d’un document qui donne un aperçu de la situation de l’emploi et définit les domaines ainsi que les mesures susceptibles de favoriser l’emploi dans le pays. Enfin, la commission prend note de l’indication du gouvernement selon laquelle le document afférent à la stratégie nationale de réduction de la pauvreté (DENARP) définit la promotion de l’emploi comme ligne d’action de son troisième axe stratégique. La commission rappelle en outre que, dans son étude d’ensemble de 2010 concernant les instruments relatifs à l’emploi, elle indique que le service public de l’emploi fait partie des institutions nécessaires pour parvenir au plein emploi. La convention no 88, la convention no (122) sur la politique de l’emploi, 1964, et la convention no (181) sur les agences d’emploi privées, 1997, constituent toutes trois un socle nécessaire à la croissance de l’emploi (voir étude d’ensemble de 2010, paragr. 785 à 790). La commission exprime donc à nouveau l’espoir qu’une politique nationale de l’emploi sera prochainement adoptée et que des mesures seront prises pour renforcer les services de l’emploi destinés aux jeunes, notamment les services situés hors de la capitale. La commission prie le gouvernement de fournir de plus amples informations sur le fonctionnement du service public de l’emploi ainsi que sur les mesures prises pour renforcer les institutions nécessaires à la réalisation du plein emploi. La commission invite le gouvernement à joindre au rapport dû en 2015 des informations actualisées sur les mesures adoptées aux fins de la meilleure organisation possible du marché de l’emploi comme partie intégrante du programme national tendant à assurer et à maintenir le plein emploi ainsi qu’à développer et à utiliser les ressources productives (articles 1 et 3 de la convention), en coopération avec les partenaires sociaux (articles 4 et 5). Enfin, la commission espère que l’observatoire de l’emploi et de la formation professionnelle sera bientôt opérationnel et qu’il fournira au gouvernement les informations statistiques sur le nombre de bureaux d’emploi publics créés, le nombre de demandes d’emploi reçues, le nombre d’avis de vacance publiés et le nombre de personnes placées par ces bureaux (Point IV du formulaire de rapport).
La commission note que le rapport du gouvernement n’a pas été reçu. Elle espère qu’un rapport sera fourni pour examen par la commission à sa prochaine session et qu’il contiendra des informations complètes sur les points soulevés dans sa précédente demande directe, qui était conçue dans les termes suivants:
Contribution du service de l’emploi à la promotion de l’emploi. La commission a pris note des informations contenues dans le rapport du gouvernement reçu en novembre 2005. Le gouvernement fait à nouveau état des carences et des difficultés de la Direction du service de l’emploi ainsi que de l’absence de mesures destinées à mettre en œuvre les dispositions de la convention. La commission souhaiterait pouvoir examiner la manière dont les autorités élues en 2005 ont tenu compte des objectifs de la convention dans l’élaboration de leur programme de gouvernement pour 2004-2008 et dans la définition des priorités de la stratégie nationale de lutte contre la pauvreté. Elle espère que le BIT pourra fournir une assistance technique pour la mise en place par le gouvernement et les partenaires sociaux de programmes destinés à créer des opportunités d’emploi. La commission veut croire que ces programmes contribueront à renforcer les services de l’emploi destinés aux jeunes et notamment à ceux installés hors de la capitale. La commission espère que dans son prochain rapport le gouvernement sera en mesure de décrire la manière dont les réformes du service de l’emploi lui ont permis de s’acquitter de sa tâche essentielle consistant à «réaliser la meilleure organisation possible du marché de l’emploi comme partie intégrante du programme national tendant à assurer et à maintenir le plein emploi ainsi qu’à développer et à utiliser les ressources productives» (articles 1 et 3 de la convention), en coopération avec les partenaires sociaux (articles 4 et 5). A cet égard, la commission saurait gré au gouvernement d’indiquer dans son prochain rapport les efforts réalisés en matière de collecte et d’analyse de données statistiques sur le marché du travail et de communiquer toute information statistique disponible sur le nombre de bureaux publics d’emploi existants, de demandes d’emploi reçues, d’offres d’emploi notifiées et de placements effectués par ces bureaux (Partie IV du formulaire de rapport).
Article 3 de la convention. En réponse aux précédents commentaires relatifs aux carences en bureaux et services, le gouvernement déclare qu’il ne dispose pas des ressources nécessaires au développement de bureaux régionaux et n’a pas non plus les moyens de s’occuper de l’emploi et de la formation professionnelle, du fait que le nombre des membres du personnel disponibles ne s’élève qu’à sept. Il souhaiterait d’ailleurs bénéficier de l’assistance technique du BIT pour des stages de formation professionnelle. Il évoque comme principal obstacle au développement des services de l’emploi le manque de coordination avec d’autres organes de l’administration susceptibles d’enregistrer, eux aussi, les personnes sans emploi. La commission rappelle l’importance que revêt la mise en place d’un réseau national de bureaux de l’emploi répondant aux besoins de la majeure partie des habitants, y compris ceux qui vivent hors de la capitale. Elle prie instamment le gouvernement de s’employer pleinement à la mise en place d’un réseau de services de l’emploi disposant de suffisamment de moyens financiers pour assurer un minimum de fonctions, de même qu’à l’amélioration de la coordination entre les divers organes de l’administration.
Articles 4 et 5. En réponse aux précédents commentaires, le gouvernement déclare que les partenaires sociaux participent à des séminaires et des activités de formation ayant trait à l’emploi, ainsi qu’à l’élaboration de règlements ayant trait à la promotion du service de l’emploi. Prenant note de ces éléments, la commission souhaiterait continuer de recevoir des informations détaillées sur l’importance de la coopération tripartite et les efforts déployés pour la mise en place de commissions consultatives tripartites, comme prévu par la convention.
La commission constate que le rapport du gouvernement ne contient aucune information quant au nombre de personnes au bénéfice d’un emploi. Elle souhaiterait être saisie de telles données, comme demandé dans la Partie IV du formulaire de rapport.
La commission note avec regret que le rapport du gouvernement n'a pas été reçu. Elle espère qu'un rapport sera fourni pour examen par la commission à sa prochaine session et qu'il contiendra des informations complètes sur les points soulevés dans sa précédente demande directe, qui était conçue dans les termes suivants:
Article 3 de la convention. La commission constate qu'il n'existe toujours qu'un bureau de l'emploi et qu'il n'est utilisé que par un très petit nombre de travailleurs. La commission veut croire que le gouvernement sera en mesure de prendre, dans un proche avenir, les dispositions nécessaires pour, d'une part, développer les activités du bureau existant et, d'autre part, étendre le service de l'emploi à d'autres régions du pays afin de mieux répondre aux besoins des travailleurs et des employeurs et, plus généralement, de permettre la meilleure organisation possible du marché de l'emploi. Elle espère que le gouvernement restera en contact avec le BIT à ce propos afin d'obtenir, le cas échéant, son appui technique.
Articles 4 et 5. La commission note que le gouvernement indique qu'il n'a pas été en mesure de mettre en place la Commission consultative tripartite pour l'emploi, bien qu'il considère qu'il s'agit d'une nécessité. Elle rappelle que le mécanisme de coopération prévu par les présentes dispositions de la convention permet de bénéficier et de tenir compte de l'expérience et de l'opinion des représentants des employeurs et des travailleurs sur l'organisation, le fonctionnement ainsi que sur le développement de la politique du service de l'emploi. Elle prie le gouvernement d'indiquer de quelle manière ces consultations sont assurées en pratique.
Articles 7 et 8. La commission note les efforts entrepris pour faciliter la spécialisation au sein du service de l'emploi et mettre en oeuvre des mesures d'orientation professionnelle destinées aux jeunes à la recherche d'un premier emploi et aux personnes révoquées de la fonction publique. Elle prie le gouvernement de continuer à fournir des informations à ce sujet.
Article 9. La commission prend note de l'adoption de la loi générale sur la fonction publique en 1993 et du décret d'application du 28 février 1994 fixant notamment les conditions de recrutement des fonctionnaires. Elle saurait gré au gouvernement de communiquer au Bureau copie des textes susvisés.
La commission note que le rapport n'a pas été reçu. Elle espère qu'un rapport sera fourni pour examen par la commission à sa prochaine session et qu'il contiendra des informations complètes sur les points soulevés dans sa précédente demande directe, qui était conçue dans les termes suivants:
La commission prend note des informations et données statistiques détaillées fournies par le gouvernement et le prie de communiquer des informations complémentaires sur les points suivants:
La commission note avec regret que le rapport n'a pas été reçu pour la quatrième année consécutive. Elle espère qu'un rapport sera fourni pour examen par la commission à sa prochaine session et qu'il contiendra des informations complètes sur les points soulevés dans sa précédente demande directe, qui était conçue dans les termes suivants:
1. La commission a pris note du rapport du gouvernement. Le gouvernement se réfère au projet de loi organique du ministère de la Fonction publique et du Travail, lequel définit la nature et les attributions de la Direction générale de l'emploi et de la formation professionnelle, qui est notamment chargée de mettre en oeuvre certains aspects importants de la convention. La commission espère que le gouvernement indiquera dans son prochain rapport les développements législatifs intervenus et les progrès réalisés, compte tenu de l'évolution des conditions socio-économiques, dans le sens d'une plus large application de la convention. Elle prie le gouvernement de se référer à ses commentaires antérieurs relatifs à l'application des articles 3 à 8 de la convention.
2. La commission prie le gouvernement de communiquer une copie du statut de l'INAFOR, mentionné mais non joint au précédent rapport du gouvernement.
La commission note avec regret que le rapport n'a pas été reçu pour la troisième année consécutive. Elle espère qu'un rapport sera fourni pour examen par la commission à sa prochaine session et qu'il contiendra des informations complètes sur les points soulevés dans sa précédente demande directe, qui était conçue dans les termes suivants:
La commission note avec regret que le rapport n'a pas été reçu pour la deuxième fois consécutive. Elle espère qu'un rapport sera fourni pour examen par la commission à sa prochaine session et qu'il contiendra des informations complètes sur les points soulevés dans sa précédente demande directe, qui était conçue dans les termes suivants:
2. La commission prie le gouvernement de communiquer une copie du statut de l'INAFOR, mentionné mais non joint au précédent rapport du gouvernement. [Le gouvernement est prié de communiquer un rapport détaillé pour la période se terminant le 30 juin 1991.]